Publié le 10 mai 2014 - 17:09:32 - 13:51:57
François Vieira
Photographe de presse accrédité UE
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"Le Bel Iris... objet de risée"
RAPPEL à l'approche des ÉLECTIONS 2024 !
L'Iris bruxellois : arnaque Made in be.brussels
À l’approche de la Fête de l’Iris, les 10 et 11 mai, soit à 15 jours des élections du 25 mai, bruxelloises et bruxellois, souvenez-vous qu’en 1990 le pouvoir politique bruxellois n’a pas respecté votre choix lors de la consultation populaire en vue d’élire le symbole de la Région de Bruxelles-Capitale, créée en 1989.
Vingt-quatre années après, la Région s’est dotée d’un nouveau logo (drapeau bruxellois), cette fois, sans consultation populaire. Pourquoi ?
Le nouveau logo, qui n'a rien d'original, véritable plagiat du dessin créé par François Vieira de Matos en 1990 et plébiscité par la population bruxelloise, a coûté près de 225.000 Euros. Sans oublier les frais en raison du remplacement de l'ancien logo par le nouveau, soit plusieurs centaines de milliers d'Euros ! En pleine période de restrictions économiques...
Historique d’un concours truqué…
Texte Image 3 à droite:
"Suite à l'annulation illégale - car non motivée - du référendum organisé par la Région bruxelloise en 1990, reconnaissant le plagiat de son dessin, voire mémé l'escroquerie, dont a été victime François Vieira, lé véritable créateur du symbole de la Région, l'Iris, plébiscité par la population bruxelloise (soit 92,6% des voix), imaginant que mes jours sont désormais comptés, pour l'apaisement dé mas conscience j'ai décidé de lui octroyer la sommé de 950.000 Euros."
Bruxelloises, Bruxellois,
C'était il y a 34 ans, vous avez plébiscité mon dessin, l'Iris, de 92,6% de voix !
En annulant le référendum - la consultation populaire ! - la région a fait main basse sur votre choix ! L'annulation du référendum était illégale – l’est toujours - car non motivée. À ce jour, j’ai n’ai jamais reçu la moindre motivation ! Pour la simple raison qu’il n’y en avait pas.
Par la suite, le symbole que la Région vous a imposé n'était rien d'autre qu'une vulgaire copie-adaptions de mon dessin.
Selon la déclaration téléphonique volontaire de M. Didier Malherbe (enregistré), je cite : le Conseil (PSC) contacte des agences de publicité... Je sens qu'il y a une volonté politiqué... et pour cela mais aussi pour beaucoup d'autres chosés, je ne compte plus rester longtemps ici... De quelles choses, ou de quelles magouilles ? Voulait-il faire allusion ?
En effet, M. Didier Malherbe a vraiment démissionné !
Plagiat, escroquerie ? Tricherie... à ce jour la Région de Bruxelles-Capitale me doit près de 950.000 Euros.
Les élections du 13 octobre approchent...
24 ans après, 1990-2014, cette fois sans demander l'avis de la population, ni des autres partis, "Sir" Charles Picqué (PS) a imposé un nouveau Logo, soit, cette fois, le plagiat à 99,9% de… mon dessin de 1990 !
Plagiat qui a - ou aurait - couté la bagatelle de 225.000 Euros au contribuable bruxellois.
Contact pris avec le journaliste Julien Thomas - La Libre Belgique - sa réponse m'a "beaucoup" surpris, je cité : …je n'étais pas au courant de cette affairé de 1990...
Quant au prétendu créateur du nouveau Logo, un certain Bruno Brunfaut, ce dernier s’est demandé : …l'Iris est un beau drapeau ? Le Cabinet de Charles Picqué nous a demandé de faire un iris... Un cœur au centre de deux pétalés.
Soit mon dessin de 1990 à 99,9% !
Et vous, qu’en prenez-vous ?
À bon entendeur...
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"Après l’ère Charles Picqué" (PS), place au nouveau Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale, membre du même parti, Monsieur Rudi Vervoort, "débarqué" au 9 de la rue Ducale (Cabinet du Ministre-Président), parviendra-t-il à garder le poste de Ministre Président après les élections régionales du 25 mai 2014 ?
Parce que la population belge et étrangère, en particulier les nombreux fonctionnaires européens, "véritables vaches à lait" du Gouvernement bruxellois, en a ras-le-bol des promesses électorales non tenues et du non-respect du choix des électeurs.
À l'approche des ÉLECTIONS 2024 !
Vous y croyez encore ?
Choix des électeurs et autres promesses électorales non respectées... Entre autres, le concours (truqué) lancé par la Région de Bruxelles-Capitale en 1990, en vue de la création d'un symbole représentatif, l’insécurité croissante au sein de la Capitale de l’Europe, ce n'est un secret pour personne.
Agressions en tout genre, vols à la tire et autres "réseaux de négriers d’enfants" qui sévissent au nez et à la barbe des autorités locales, l’état déplorable de la plupart des trottoirs et des chaussées, le manque de propreté, c'est vécu au quotidien, en particulier, par ceux qui habitent au sein même de la Capitale de l'Europe. Si d’ici le 25 mai 2014 rien ne change en profondeur, il se pourrait bien que la couleur rouge (PS) de l’actuel Ministre Président vire au bleu (MR) !
Enquête et reportage sur les "négriers d'enfants"
© François Vieira (1989 / 1990)
D'année en année, élection après élection, les promesses d'en finir avec l’exploitation des enfants laissés pour compte vont bon train. Hélas, force est de constater, en 2013 rien n'a changé. Les Négriers d'enfants sont toujours là.
Pour preuve, lorsque François Vieira a présenté le résultat de son enquête et reportage photo au Délégué Général aux Droits de l'Enfant, M. Claude Lelievre, ce dernier a estimé que d’une part il était très difficile d’identifier les enfants et d’autre part encore plus difficile de les retirer de force des griffes de ceux qui les utilisent dans la mendicité.
Quant Forum Européen de l'Enfant-FEE, projet ci-dessus réalisé par François Vieira, destiné à mettre en évidence les nombreux dysfonctionnements (Ex. enfants laissés pour compte, privés de scolarité et mis au travail, mendicité, des proies faciles pour les pédophiles...) dont sont victimes de nombreux enfants y compris au sein même de l’Union européenne, selon le Délégué Général aux Droits de l'Enfant, la mise en place d'une telle organisation ne s’avérait pas nécessaire. Voire même, impossible à réaliser.
Pourquoi ? Cela poserait d'énormes problèmes d’ordre juridique au sein même des États Membres de l’Union européenne !
Fonctionnement du FEE
Résumé : 1° Le siège du FEE et son financement serait pris en charge par les Institutions européennes. 2° Le FEE serait présidé à tour de rôle par le pays ayant la Présidence de l’Union européenne. 3° Durant les six mois de la Présidence de l’Union par le pays désigné, des enquêtes seraient menées sur place en vue de démontrer les dysfonctionnements et autres manquements à l’égard de la protection de l’enfance. 4° À la fin de la présidence, un rapport accompagné de recommandations serait remis à la Présidence sortante. 5° Des années plus tard, lorsque le pays revient à la Présidence de l’Union, documentation et images à l’appui, le FEE exposerait le fruit du travail accompli avant et après...
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Élections régionales de 2014
En admettant que l’écharpe Mayorale de l’actuel Bourgmestre, le socialiste Freddy Thielemans, vire à l’orange, c’est-à-dire en faveur du cdh probable allié du MR - "le cdh qui ne manque pas d’envie d’en découdre avec les socialistes du centre-ville" - c’est clair, la donne risque fort de changer… En principe, vers un mieux. L'espoir fait vivre, n'est-ce pas ?
Hélas, "depuis la nuit des temps", les promesses électorales annoncées par les "Princes" qui nous gouvernent, soit disant pour un mieux vivre, la plupart du temps passent à la trappe !
De même, outre les accords secrets avant et (ou) pendant le scrutin, parfois entachés de trahison au sein même des partis politiques, en final c’est le Président de Parti qui décide qui sera nommé Ministre.
C'est-à-dire que l'avis des électeurs n'est pas pris en compte. Pour mémoire, ce fut le cas lors du concours lancé par la Région de Bruxelles-Capitale* en 1990 en vue de la création du symbole représentatif de la nouvelle région.
En effet, après la consultation populaire, en annulant le concours, le Gouvernement bruxellois a fait, purement et simplement, main basse sur le choix des bruxellois... Mais retient, sans vergogne, l'idée de François Vieira, c'est-à-dire : l'Iris.
*Appelée jusqu’alors Agglomération bruxelloise, les premières élections pour le Conseil de la Région de Bruxelles-Capitale, ont eu lieu le 18 juin 1989.
"Descente" aux archives du Lauréat, François Vieira de Matos.
Autrefois graphiste* free-lance, François Vieira de Matos, âgé aujourd'hui de 73 printemps, est devenu par la suite journaliste et photographe de presse accrédité permanent auprès des Institutions européennes.
*En 1992, François Vieira, alors agent auxiliaire à la DG XI - Commission européenne, a reçu le 1er Prix pour son logo destiné au Programme de sauvetage du Danube River Basin. Son dessin a été plébiscité, outre par la Commission européenne, par la Banque Mondiale à Washington.
© François Vieira
Concours organisé par la DG XI - CE
1er Prix attribué à François Vieira
Rencontre avec les Chefs de groupe du Conseil régional
À l'issu de la consultation populaire, Informé de l’annulation du concours, en total désaccord avec la décision prise par le Conseil de la Région de Bruxelles-Capitale, François Vieira a demandé à être reçu par les Chefs de groupe afin, d'une part, de contester de vive voix leur décision et d'autre part d’informer ces derniers qu'il était parfaitement capable de retravailler son dessin en vue des différentes applications du symbole. Étant le Lauréat et graphiste professionnel, ce travail lui revenait de plein droit.
En réponse à sa demande, histoire de noyer le poisson, en date du 26 octobre 1990, le Conseil régional a adressé une lettre à François Vieira pour l'inviter à venir montrer ses réalisations graphiques antérieures ! Comme si le résultat de la consultation populaire ne suffisait pas.
Fort du résultat obtenu (92,6% des voix), le jour fixé, François Vieira s’est présenté au Conseil de la Région de Bruxelles-Capitale avec dans son press-book une série de documents reprenant les différentes applications de son logo l’Iris bruxellois.
À savoir, cartes de visite, entête-de-lettre, drapeaux, logo en out-line, dont modèle ci-dessous. Hélas, ce fut peine perdue. Selon François Vieira, à l’issu de l’entretien, il s’est fait jeter comme un malpropre.
© François Vieira
Point 4 du Règlement : Un montant à déterminer sera alloué au créateur du projet retenu, pour des modifications éventuelles ou une mise au point exigées par le pouvoir organisateur.
Journal Le Soir du 20 décembre 1990
Extraits de l'article d'Olivier Alsteens,
Cet iris qui se fane dans le marais politique...
On l'espérait pour le 18 juin. Il sera là au plus tôt en 1991. Pourtant, un concours avait été organisé. Un jury de spécialistes avait été mis en place. Et parmi les 739 projets rentrés, sept étaient retenus. Conformément au règlement du concours, une consultation populaire était alors prévue. Quatre mille quatre cent septante Bruxellois y ont répondu.
Il appartenait alors au conseil régional de se prononcer sur le logo régional. Souverain, celui-ci a décidé de ne pas désigner de lauréat lors de sa séance du 17 octobre. Pas de lauréat, mais un vainqueur malgré tout. C'est en effet l'idée du graphiste François de Matos, un iris, qui a été retenue.
Le même François de Matos, graphiste professionnel et vainqueur de la consultation populaire, arrive en tête des suffrages des élus régionaux. Pas de lauréat, mais une remise de prix. Mais comme pour mieux prouver qu'il y avait bien un vainqueur mais qu'on ne pouvait pas le dire officiellement, le prix de 350.000 F attribué au projet retenu, a été réduit à 300.000 F.
Et comme le ridicule ne tue pas, le conseil régional n'a pas demandé au vainqueur de retravailler son projet. Il l'a fait de sa propre initiative. Et lors de sa convocation devant le bureau du conseil régional, il a présenté ses travaux pour obtenir une fin de non-recevoir des éminences régionales. Celles-ci avaient d'ores et déjà décidé de confier le travail à deux graphistes "de renom".
Que le bureau souhaite une amélioration du logo, on peut le comprendre. Mais pourquoi avoir fait table rase du passé en retenant l'idée du vainqueur ?
L'iris a beau être une fleur de marais, cela ne l'empêche pas de se faner dans celui de la politique régionale. O.A.
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Quant à celui qui a accepté (moyennant finances!) de "retravailler" le dessin du Lauréat, un certain Jacques Richez (qui n'a pas participé au concours), graphiste de renommée certes, il a manqué singulièrement de respect déontologique. Pour la petite histoire, Jacques Richez aurait touché 750.000 FB. Selon l’héraldiste belge Paul Meurice, plus connu sous son nom de plume Paul de Saint-Hilaire, Jacques Richez, "de mèche" avec le pouvoir politique, aurait touché une somme beaucoup plus importante. Allez savoir !
Malgré le temps écoulé, 23 années, François Vieira n’a pas oublié, ne l’oubliera jamais, l'arnaque dont il a été victime. Tricherie, arnaque, faut-il le rappeler, "savamment orchestrée par l’ensemble du pouvoir politique de l’époque, les socialistes en tête".
Images à l’appui, outre la "volonté politique d’écarter son dessin", un Iris stylisé, plébiscité par la population bruxelloise avec 92,6% des voix, la tricherie ne fait, dès lors, aucun doute.
Le choix du Jury était-il déjà entaché...
...d'irrégularité ? En effet, le dessin finaliste n° 4, stylisation de Saint-Michel (Centre-ville), avec une certaine allusion à l'Atomium (les boules et les tubes), le n° 5 fait ouvertement allusion à l’Atomium (Laeken), quant au dessin n° 7, sa ressemblance avec le logo Woolmark est flagrante. Qu'en pensez-vous ?
Or, le point 1, 6ème paragraphe du règlement du concours stipule très clairement : …Il convient que ce nouveau symbole ne soit pas clairement attaché à une des communes qui forment la Région de Bruxelles-Capitale. Dont Bruxelles Vile et Laeken!
"Écœuré", Didier Malherbe décide de quitter ses fonctions !
Extrait du message de M. Didier Malherbe*, qu'il a enregistré sur le répondeur (messagerie vocale) de François Vieira !
*M. Didier Malherbe, était un proche collaborateur du Président du Conseil régional bruxellois, M. Édouard Poullet.
…J’ai été extrêmement surpris par des décisions qui sont en train de se prendre par le bureau qui contacte maintenant des agences de publicité. Je suis en total désaccord avec les décisions prises par le Conseil. Je vous avoue que d’ailleurs je ne compte par m’éterniser ici. Étant donné la totale incohérence des décisions prises, je quitterais mes fonctions. Je suis prêt à encore discuter avec vous sur la problématique du logo mais je sens qu’il y a une volonté politique de prendre des décisions tout à fait incohérentes. Je suis tout à fait malheureux et conscient que cela vous désole. Je dirais et pour cela et pour beaucoup d’autres choses** , je ne vais pas rester à travailler dans des conditions pareilles. Je tenais à vous le signaler.
**À quelles "autres choses" voulait-il faire allusion ? Question restée sans réponse.
La Belgique, une monarchie bananière ?
Depuis, malgré un certain nombre de démarches auprès de l’ancien Ministre Président en vue d’obtenir une juste réparation, François Vieira n’a reçu que des fins de non-recevoir.
Sur le plan juridique, mal conseillé, écœuré par la mauvaise foi des uns et des autres, François Vieira a fini par laisser tomber.
Quant aux 350.000 FB qui lui revenaient de plein droit en tant que Lauréat du concours, pour faire taire les médias belges et portugais qui, à l'instar de l'intéressé, avaient dénoncé la tricherie, François Vieira a fini par toucher 300.000 FB. Comme le ridicule ne tue pas, la Gouvernement bruxellois a décidé de partager la différence avec les participants évincés du concours !
Résultat de la consultation populaire
Presse portugaise
Résolution du Conseil régional bruxellois
Sans raison valable, la Résolution ci-dessous est un non-sens.
Le concept du règlement du concours, le choix des membres du Jury, l’organisation de la consultation populaire par l’envoi de dépliants à la population bruxelloise reprenant les 7 dessins finalistes, revenait au Conseil Régional, dont le Président était le social-chrétien Édouard Poullet, qui avait, dès lors, aussi le mot de la fin.
C’est-à-dire : a) Le dépouillement des bulletins de vote, b) Désignation des finalistes (1er, 2ème et 3ème Prix), c) Communication du résultat à la presse, d) L’attribution du Premier prix, soit un montant de 350.000 FB.
Dans un but de conciliation, la dernière démarche entamée par François Vieira, date du mois de février 2011.
Démarche, en vue d'un règlement à l'amiable !
En guise de clin d’œil, on n’attrape les mouches avec du vinaigre, François Vieira a fait réaliser par un Maître chocolatier de Thuin un Iris stylisé en chocolat identique à celui plébiscité par la population bruxelloise, qu’il comptait remettre personnellement au Ministre Président, Charles Picqué.
En accompagnement de l’Iris en chocolat, un dossier reprenant l’historique du concours truqué y compris la bande son (message de M. Didier Malherbe). Preuve irréfutable de la tricherie dont François Vieira affirme avoir été victime.
L'Iris en chocolat, réalisé par un Maître chocolatier de Thuin.
Semble-t-il en raison de la crise politique qui frappait le pays, pour mémoire 545 jours sans Gouvernement, Charles Picqué n’était pas disponible.
Persévérant, François Vieira sollicite un autre rendez-vous. Au cours de l’entretien téléphonique avec le secrétaire particulier du Ministre, un certain Sébastien Cru, ce dernier recommanda à François Vieira de procéder en deux étapes. 1° Venir au Cabinet pour y déposer l’Iris en chocolat accompagné du dossier. 2° Par la suite, dès que possible, un rendez-vous avec le Ministre serait fixé par le Cabinet.
Balivernes... En effet, quelques jours plus tard, le secrétaire du Ministre, Sébastien Cru, qui n'a jamais recontacté François Vieira, adressa un mail à ce dernier pour l’informer que : ...la demande que vous m'avez adressée jeudi passé a bien été transmise au Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale et a retenu sa meilleure attention. Malheureusement, il ne me sera pas possible de lui réserver une suite favorable, tout ayant déjà été dit sur cette épisode voilà plus de 20 ans. Texte conforme à l’original !
Quant à l’Iris en chocolat, il aurait été mangé par les secrétaires du Cabinet.
L'autre logo de la Région bruxelloise
Vous avez dit ressemblance ?
Décidément, force est de constater, le dessin de François Vieira inspire les graphistes qui travaillent pour la Région de Bruxelles-Capitale. En effet, le logo dont s’est dotée récemment la Région bruxelloise, qui aurait coûté la bagatelle de 150.000 Euros, ressemble étrangement à celui de François Vieira.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Capture Internet, François Vieira - EPI Agency
Et oui, c'est ainsi que va la Région de Bruxelles-Capitale de l'Europe ! Vous avez dit bizarre ? Comme c'est étrange.
À bon entendeur…
© "Viriato" - By EPI Agency
P.S. Viriato, signifie, entre autres, personne courageuse. Il fut le premier héros portugais, symbole de la résistance et de l’autonomie du peuple lusitanien.
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